Connaître les études comparant les INM pour mieux vieillir
Résumé
santé et du social travaillant avec des personnes de plus de 60 ans recourent de plus en plus aux pratiques non pharmacologiques (Ballard et al., 2011; Gow et al., 2012). Ces méthodes ciblées et personnalisées sont nommées par les scientifiques des interventions non médicamenteuses (INM). Elles se distinguent des médecines alternatives, des pratiques socio-culturelles et des messages promotionnels de santé publique (Ninot, 2019). Les INM sont des méthodes psychologiques, corporelles, manuelles, numériques, nutritionnelles ou élémentaires (Fig. 1). Elles sont non invasives et complémentaires des autres approches (Fig. 2). Elles sont fondées sur la science et en particulier sur des études interventionnelles (Fig. 3). Elles ont pour objectifs (1) de soulager des symptômes, (2) de prévenir des maladies, (3) d'augmenter l'autonomie, (4) de renforcer l'état de santé, (5) d'améliorer la qualité de vie, (6) et de prolonger la vie sans perte de qualité de vie (successful aging). De nombreux chercheurs et praticiens signalaient des difficultés à identifier les études comparatives (aussi appelées interventionnelles ou cliniques) pertinentes évaluant les bénéfices et les risques des INM pour mieux vieillir (Hoffmann et al., 2013; Ninot, 2019). Une équipe de la Plateforme universitaire CEPS a pensé un système numérique à cette fin.
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